Comment réussir à changer de vie, voici mon histoire (Part 3)

Après la deuxième partie de mon histoire pour réussir à changer de vie, je décide aujourd’hui de vous en dire un peu plus.

Septembre 2007 : je décide de franchir le pas et d’oser passer à l’action. J’envoie en masse mon CV dans les agences Internet françaises.

Résultat : dans la grande majorité des cas, aucune réponse. Le peu de réponses que j’ai eu disaient toute la même chose : soit le profil ne correspondait pas ou pas assez d’expériences. Quelques-unes m’ont demandé de leur envoyer des exemples de création : je recevais alors un joli refus en retour. La bonne nouvelle, cette fois, c’est que je savais pourquoi.

J’étais toujours déterminé, je continuais à y croire. Je savais que l’accomplissement de ce rêve n’allait pas être facile. J’ai continué à postuler.

Fin novembre 2007 : je décide de lâcher prise. Je continue toujours à y croire mais je commence à me détacher du résultat.

Concrètement, j’ai focalisé mon attention pendant des mois dessus, maintenant je passe à autre chose. J’obtiens un poste de chauffeur-livreur en CDD d’un mois. Oui, je sais : rien à voir. Le but était de libérer mon esprit de cet objectif.

En parallèle, je décide de prendre des risques pour la réalisation de mon rêve. Je fais un dernier envoi de mon CV en me faisant plaisir. Je me lâche complètement dans l’envoi de mon CV, je me dis que je n’ai rien à perdre, je décide d’être moi-même et de parler avec mes tripes.

Je leur balance des phrases du genre « n’oubliez jamais ce qui caractérise par excellence l’autodidacte, sa passion et son pur plaisir à exercer son métier pour lequel il veut être destiné. »

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Dans ma lettre de motivation, je leur dis littéralement que « j’adore lire le blog de Matt Cutts en cachette, Google est mon ami. Quand il danse, je danse avec lui ». Bref, vous voyez le topo !

Fin décembre 2007 : le patron me met la pression en me proposant un CDI, il était prêt à me faire passer mon permis poids-lourd et la FIMO. Je devais me décider rapidement. J’ai été honnête et sincère avec lui. Je lui ai répondu que cela ne m’intéressait pas.

Le lendemain, coup de fil d’une agence de communication pour me proposer un entretien pour un poste de référenceur. L’agence était située à Montpellier, à 500 kilomètres de chez moi (le Périgord). Je n’ai pourtant pas hésité une seule seconde. J’ai foncé !

Je ne connaissais absolument pas ce métier : je devais pourtant faire en sorte que, dans 15 jours, les recruteurs face à moi croient que je suis la bonne personne. Chouette, un nouveau défi !

J’achète immédiatement un livre que j’estime de référence sur le référencement et je l’engloutis. En parallèle, je me renseigne sur les différentes techniques d’entretiens et l’interprétation possible de chaque geste. Bien que tous mes entretiens précédents étaient improvisés et réussis, je ne voulais cette fois-ci rien laisser au hasard. Absolument rien. Je décidais de mettre toutes les chances de mon côté.

Le jour J, à l’entretien, j’ai réussi à littéralement les bluffer ! J’étais fier de moi ! J’ai vraiment eu de la chance car je leur ai proposais, lors de cet entretien, de leur faire voir un exemple de mes réalisations.

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Heureusement pour moi, ils n’avaient pas le temps. En vérité, les réalisations étaient dignes du bricoleur du dimanche. J’ai tenté ce coup de bluff et cela a marché.

J’avais tout prévu : mon ordinateur et des dossiers sur mes précédentes expériences en rapport avec Internet. Le but du jeu était de leur en mettre plein la vue et de les inonder d’informations. Pourquoi ?

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